Un dossier cosmétique n’est pas éternellement figé

Vous avez, en tant que personne responsable [rappelons que, selon les termes du législateur, la personne responsable est celle qui « met un produit cosmétique sur le marché sous son nom ou sa marque »] sollicité l’aide de Copaïba consultance & formulation™ pour construire votre dossier cosmétique. C’est là une sage décision, et nous sommes persuadés que vous êtes pleinement satisfaits de notre travail.

Cependant, il vous faut garder à l’esprit que rien n’est définitivement acquis. Ce dossier n’est pas éternel. Car d’une part vous allez peut-être modifier votre cosmétique [son étiquetage, sa formule, son mode de production, son contenant, ses ingrédients ou les fournisseurs de ces derniers …] et d’autre part, les connaissances scientifiques et les exigences législatives évoluent.

Depuis l’entrée en vigueur du règlement 1223/2009/CE, en juillet 2013, nous comptons une trentaine de nouveaux textes l’amendant ou le complétant, et ce sans compter les lignes directrices et autres publications. Autrement dit, tous les deux mois en moyenne, le législateur complète et/ou amende le règlement 1223/2009/CE de référence. Et, comme votre dossier doit, selon les termes même du législateur, être « actualisé eu égard aux informations pertinentes complémentaires apparues après la mise sur le marché du produit », il convient de suivre les choses de près – les évolutions législatives bien évidemment, mais également scientifiques.

Concrètement donc, votre dossier doit régulièrement être réévalué, en vue de le compléter, de l’amender, et surtout de vérifier que votre cosmétique répond toujours bien aux exigences du législateur et démontre son innocuité au regard des meilleures connaissances scientifiques raisonnablement disponibles. Et en pratique, une réouverture annuelle nous parait une sage routine. Reprenez donc contact avec Copaïba consultance & formulation™ sur base de cette fréquence annuelle : votre dossier sera relu, amendé si nécessaire, et vous aurez la garantie de son actualisation législative et scientifique. Non seulement c’est une obligation légale, mais c’est nettement moins chronophage, mois cher et moins stressant que de se trouver dans la tourmente lors d’un contrôle par les autorités de la santé de votre pays.

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