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BioSoline

Le bronzage est une des modes occidentales les plus universelles : chacun veut avoir une peau miellée par les chauds rayons solaires. Et bronzer vite est devenu un objectif pour bien des vacanciers.

Nous connaissons aussi les dommages induits par le rayonnement ultra-violet. Aussi ont été mis au point des produits solaires afin de réduire l'impact du rayonnement sur la peau, et donc les inconvénients de l'exposition au soleil. Et nous nous retrouvons devant un dilemme :

  • ou nous protégeons notre peau, mais nous bronzons peu
  • ou nous protégeons peu notre peau, mais nous bronzons

Copaïba utilise dans ses soins solaires un ingrédient tout-à-fait spécifique, la Biosoline, constituant une nouvelle approche du bronzage : la protection est optimale, et le bronzage intense.

L'agression du soleil

La lumière ultra-violette est répartie en UVA et UVB, tous deux responsables des dommages induits à notre peau :

  • les UVA sont de moindre énergie, mais sont peu absorbés par la peau et abîment la partie profonde de notre épiderme en atteignant des structures telles que le collagène, d'où induction des rides photo-induites; ils sont également responsables de l'érythème solaire immédiat et des taches d'hyperpigmentation
  • les UVB sont plus énergétiques, mais sont mieux absorbés par la peau; ils endommagent ainsi surtout les couches supérieures de l'épiderme et sont surtout responsables de l'érythème photo-inflammatoire, de la déshydratation des couches supérieures de l'épiderme, de la destruction des lipides cutanés et de la réduction des défenses via les cellules de Langerhans.
1. les formes agressives de l'oxygène

Le mécanisme principal des dommages induits par les ultra-violets concerne la production de formes agressives de l'oxygène. Les UVA, qui pénètrent au sein des cellules, sont capables de libérer du fer de ses sites de stockage usuels comme la ferritine. Ce fer Fe3+ peut participer à certaines réactions biochimiques, dont résulte la formation des radicaux hydroxyles, connus pour être responsables de nombreux dommages oxydatifs.

Tout commence par la transformation de l'oxygène en radical superoxyde au sein de nos cellules : O2 → O2°-. Ce phénomène concerne quelques pourcents de l'oxygène que nous respirons chaque jour, qui échappent à la combustion cellulaire normale. Ce radical superoxyde peut subir une dismutation donnant naissance à du peroxyde d'hydrogène : 2 O2°- + 2H+ → H2O2 + O2 et cette réaction est largement favorisée par l'irradiation UVA.

C'est ainsi que les UVA induisent l'apparition de trois molécules, l'ion ferrique Fe3+, le radical superoxyde O2°- et le peroxyde d'oxygène H2O2 , qui vont constituer un cocktail particulièrement toxique pour nos cellules. En effet, le radical superoxyde réagit avec l'ion ferrique pour former l'ion ferreux et de l'oxygène : O2°- + Fe3+ → Fe2+ + O2. Le peroxyde d'hydrogène réagit alors avec cet ion ferreux en générant un radical hydroxyle, un ion hydroxyle et l'ion ferrique : Fe2+ + H2O2 → OH° + OH- + Fe3+.

Et ce radical hydroxyle est particulièrement toxique pour nos cellules, car il est capable de casser la chaîne d'ADN ou d'oxyder les lipides cellulaires.

2. la dépression immunitaire

Sous l'irradiation UVB, différentes cellules cutanées sur-produisent des hormones d'alarme, appelées cytokynes, comme l'interleukine IL-10.

Les cellules de Langerhans, les lymphocytes T et les cellules NK (naturelles tueuses) sont les cellules du système immunitaire les plus affectées par le rayonnement ultraviolet.

Au niveau de la peau, les cellules de Langerhans tiennent une place particulièrement importante dans la réponse immunitaire. Ces cellules dendritiques naissent dans la moelle osseuse et migrent dans l’épiderme, sous la couche cornée. Leur mission est de repérer les substances étrangères à l’organisme qui traversent la barrière protectrice de la couche cornée. Elles déclenchent alors l’alarme du système immunitaire en présentant les antigènes aux lymphocytes T.

Les lymphocytes T assurent l’immunité à médiation cellulaire, par cytotoxicité ou par production de lymphokines et jouent un rôle essentiel dans la régulation des réponses immunitaires, notamment au niveau du développement des cellules tumorales. Les cellules NK, quant à elles, exercent une activité cytotoxique spontanée et interviennent, entre autres, dans la lutte anti-tumorale et la défense contre les infections.

En présence de ces molécules d'alarme, les cellules de Langerhans rétractent leurs protubérances dendritiques et quittent l'épiderme. Les substances étrangères ne sont plus détectées, les lymphocytes T ne sont plus avertis … et la peau voit sa défense immunitaire considérablement amoindrie.

Mais ces molécules d'alarme étant véhiculées par le sang, elles se retrouvent rapidement dans l'organisme entier, induisant ainsi une déplétion globale du système immunitaire … notre premier gardien contre les infections et les altérations cellulaires. C'est ainsi que le mal de gorge classique, consécutif à un coup de soleil, s'explique aisément. Mais la question peut aussi se poser autrement : le cancer de tel organe qui apparaît à 50 ans n'est-il pas liés aux coups de soleil pris à 20 ans ?

La défense de l'épiderme

1. la mélanine

La peau possède seulement une maigre défense contre les attaques ultra-violettes. Elle va bloquer le maximum du rayonnement en construisant un bouclier protecteur de mélanine, synthétisée par les mélanocytes. Ces cellules contiennent des mélanosomes qui sont de petites structures dans lesquelles la mélanine est stockée.

Au sein de l'ADN des mélanocytes se trouve un gène qui peut être exprimé, ou non. Son expression induit l'activité des mélanocytes, laquelle détermine la vitesse de bronzage et son intensité. Et cette expression est la première étape du processus menant au bronzage.

Les mélanocytes sont localisés au sein de l'épiderme profond, dans ce qu'on nomme la couche basale. Même en l'absence de lumière ils produisent continuellement de la pré-mélanine, forme incolore de la mélanine. Cette prémélanine se répand alors dans toutes les couches de l'épiderme.
Et sous l'action des UVA, la prémélanine s'oxyde en mélanine brune : le bronzage est immédiat, mais s'arrête quand les UVA disparaissent.

Les UVB constituent un signal d'alarme pour les mélanocytes, qui commencent alors à produire de plus en plus de mélanine – mécanisme qui prend deux à trois jours pour atteindre pleinement son activité.

2. la lutte contre l'oxydation

Les cellules de notre organisme disposent de plusieurs mécanismes biochimiques visant à détruire les formes agressives de l'oxygène. Citons la superoxyde dismutase qui neutralise les radicaux superoxydes en les transformant en peroxyde d’hydrogène : 2O2°- + 2H+ → H2O2 + O2, puis la catalase ou la glutathion peroxydase qui neutralisent les peroxydes d’hydrogène en les transformant en eau et en oxygène : 2H2O2 → O2 + 2H2O, ou d'autres molécules telles que le glutathion, le coenzyme Q10, … qui stabilisent les espèces radicalaires.

3. la réparation cellulaire

Au plan cellulaire, l’ADN est la cible la plus importante de l'agression ultra-violette.
L’irradiation UVB induit majoritairement des dimères de thymine (la thymine est une des "pièces" codantes de l'ADN; en se dimérisant, elle va bloquer l'ADN polymérase qui est l'enzyme qui copie l'ADN et permet ainsi la reproduction de la cellule) qui peuvent produire des altérations dans certains gènes cruciaux, en particulier des gènes suppresseurs de tumeur comme le gène p53.

Les UVB sont donc mutagènes. Mais les UVA participent aussi à cette mutagenèse, via les espèces agressives de l'oxygène. Des systèmes de réparation cellulaire vont corriger les anomalies cellulaires : la photoréactivation (transformation de dimères en monomères via une enzyme, la photolyase), le mécanisme d’excision- réparation (diverses enzymes endonucléases, polymérases, ligases – permettent la réparation de l’ADN) et la réparation post-réplicative (qui permet la réparation pendant la réplication).

La BioSoline est un ingrédient très spécifique utilisé par Copaïba dans ses soins solaires. Il est synthétisé par des levures et des champignons microscopiques sous conditions contrôlées, et contient plus précisément du glucomannane de bas poids moléculaire et du bétaglucan hydrosoluble de bas poids moléculaire, dans une matrice de hyaluronates sodique bio-actifs.
Le glucomannane est une chaîne de sucres, mannose et glucose, très puissamment actif, qui diminue, même à des doses infimes de l'ordre du dixième de pourcent, la quasi totalité de la production de peroxyde H2O2 et l'oxydation des acides gras.
Le bétaglucan est un autre polymère de sucre, constitué de glucose uniquement. Il inhibe puissamment la production d'IL-10 et d'autres cytokynes causant l'apoptose (l'apoptose est la mort cellulaire, programmée par des mécanismes biochimiques). Les acides hyaluroniques sont des hydratants puissants, qui contribuent au maintien du métabolisme cellulaire. Grâce à la BioSoline, les cellules vont pouvoir se défendre optimalement contre l'agression ultraviolette : les espèces agressives de l'oxygène (UVA) sont maîtrisées par le glucomannane, et la dépression immunitaire (UVB) est évitée grâce au bétaglucan.
Et qui dit défense optimale, dit évidemment … bronzage optimal, puisque le bronzage constitue la défense la plus visible de la peau contre le soleil.

C'est ainsi que grâce à la BioSoline, on a pu mettre en évidence

  • un bronzage plus rapide : 90% des personnes bronzent plus rapidement
  • un bronzage plus intense : 90% des personnes bronzent plus intensément*
  • un bronzage plus durable : 77% des personnes voient leur bronzage prolongé d'au moins 10 jours *y compris chez les sujet de phototype 1, c'est-à-dire chez les gens qui naturellement rougissent mais ne bronzent pas

Mais BioSoline, c'est aussi

  • un renouvellement du collagène particulièrement accéléré, évitant les rides photo-induites (-73%)
  • une augmentation spectaculaire du nombre de cellules de Langerhans
  • une production intense d'espèces anti-oxydantes, comme le glutathion
  • la multiplication des cytokynes "positives", démontrant l'activité intacte du système immunitaire
  • la synthèse soutenue de H2O2, signe de l'activité de la superoxyde dismutase qui élimine les 2 O2°-.

Bien entendu, BioSoline est un ingrédient entièrement naturel : Aucun solvant n'est utilisé pour sa production, et c'est pourquoi BioSoline est en complète adéquation avec la recommandation CPMP/ICH/283/95 concernant les solvants résiduels éditée par le EMEA et insérée dans la Pharmacopée Européenne.

BioSoline est d'origine intégralement végétale; durant sa production, stockage et transport il n'y a au aucun contact avec un quelconque matériel d'origine bovine. Aussi les exigences de la directive 1999/82/EEC, CPMP/BWP/1230/98, Ph.Eur. Suppl. 2000:5.2.8 relatives à l'encéphalite spongiforme bovine ne sont pas d'application.

BioSoline ne contient aucun ingrédient issu de sources génétiquement modifiées (OGM).

BioSoline n'a pas été testée sur animaux, et répond donc aux exigences du 7° amendement de la directive cosmétique 76/768/EC.

BioSoline ne présente pas de substances susceptibles d'être allergisantes selon l'annexe III du 7° amendement de la directive cosmétique 76/768/EC.

BioSoline n'est pas concerné par l'enregistrement REACH, car il contient uniquement de l'eau et des biopolymères de sucres.